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ATPL théorique en ligne : 20 questions gratuites tirées du module Procédures opérationnelles
Répondez à ce QCM gratuit de 20 questions sur le programme de l’ATPL théorique 2022.
Dans ces questions à choix multiples, une seule réponse est vraie :
1 : En supposant que l’exploitant est autorisé par son Autorité, le transport de marchandises dangereuses est permis à condition que :
A. la compagnie se conforme aux instructions techniques (OACI DOC 9284).
B. aucun passager ne soit transporté sur le même vol.
C. une autorisation de l’administration nationale de l’aviation ait été accordée.
D. une autorisation gouvernementale ait été accordée et l’exploitant se conforme aux instructions techniques.
2 : En tant que Commandant de Bord, lors de la préparation du vol, si vous êtes informé qu’un colis de marchandises dangereuses a été endommagé lors du chargement, vous :
A. vous assurez que les dispositions sont prises pour le débarquer.
B. l’acceptez après une inspection visuelle.
C. le mentionnez sur la déclaration de l’expéditeur.
D. le mentionnez sur la Notification au Commandant de Bord.
3 : En transport public de passagers de nuit suivant les règles de vol aux instruments, l’équipage minimal de conduite se compose de :
A. de 2 pilotes pour tout avion dont la masse excède 5,7 tonnes ou ayant plus de 9 sièges passagers.
B. 2 pilotes pour tout turbopropulseurs dont la masse n’excède pas 5,7 tonnes ou pour tout turboréacteur.
C. 1 pilote pour tout avion dont la masse n’excède pas 5,7 tonnes, à condition que le nombre maximum certifié de sièges passagers n’excède pas 9.
D. de 2 pilotes pour les avions turboréacteurs et turbopropulseurs de plus de 9 sièges passagers.
4 : En transport public suivant les règles de vol à vue, sur un avion dont le manuel de vol stipule un équipage minimal de conduite d’un pilote, la réglementation exige un second pilote :
A. si le vol dure moins de 3 heures.
B. si l’avion est bimoteur.
C. dans aucun cas.
D. si tout ou partie du vol s’effectue de nuit.
5 : En transport public, avant le décollage en conditions givrantes, le commandant de bord doit vérifier que :
A. les possibles accumulations de glace ne causent pas un excès de poids ou de centrage.
B. les surfaces externes sont libres de toute accumulation de glace qui pourrait pénaliser les performances et la manoeuvrabilité de l’avion, sauf dans les limites spécifiées dans le manuel de vol.
C. les surfaces externes sont libres de toute accumulation de glace de plus de 5 mm.
D. les surfaces externes sont toujours recouvertes de liquide antigivrant.
6 : En vol dans l’espace MNPS à la suite d’un incident de vol combiné à une perte de communications vous devez, selon la procédure, monter ou descendre de 500 ft. Vous êtes alors :
A. en dessous du FL 410.
B. au FL 410.
C. au-dessus du FL 410.
D. dans aucune des situations ci-dessus.
7 : En vol en croisière au FL 290 depuis longtemps, une petite fuite se produit en cabine, entraînant une dépressurisation lente, ce qui peut être décelé sur l’indicateur de variation d’altitude cabine, qui indique alors :
A. un taux de descente de 300 pieds par minute environ.
B. un taux de montée.
C. un taux de descente dépendant de la pression différentielle de la cabine.
D. zéro.
8 : Est-il nécessaire d’emporter la totalité du manuel d’exploitation pour chaque vol ?
A. Non, uniquement les parties nécessaires pour la conduite du vol.
B. Oui.
C. Non, uniquement les parties nécessaires pour la conduite du vol et celles concernant les exigences concernant les équipages.
D. Non, uniquement les parties concernant les exigences concernant les équipages.
9 : Etabli sur un ILS, on vous annonce que les conditions météorologiques sont passées en dessous des minimums opérationnels. Quand devez-vous interrompre votre approche ?
A. A l’Inner Marker.
B. A l’Outer Marker.
C. Au début du plan de descente du glide.
D. Au FAF.
10 : Il est obligatoire d’avoir, pour l’équipage de conduite, des masques à oxygène à pose rapide sur les avions pressurisés volant à une altitude pression supérieure à :
A. 13 000 ft.
B. 29 000 ft.
C. 25 000 ft.
D. 10 000 ft.
11 : L’accumulation de givre, neige ou glace sur un avion en vol induit, parmi d’autres conséquences sérieuses, une augmentation de :
A. la vitesse de décrochage.
B. du moment piqueur.
C. du taux de roulis.
D. la valeur de l’angle d’incidence de décrochage.
12 : L’aérodrome de dégagement au décollage doit être à quelle distance de l’aérodrome de départ :
A. pour un avion équipé de 2 moteurs, à une distance équivalente à un temps de vol de 30 minutes à la vitesse de croisière avec un moteur en panne.
B. pour un avion équipé de 3 moteurs ou plus, à une distance équivalente à un temps de vol de 4 heures à la vitesse de croisière avec un moteur en panne.
C. pour un avion équipé de 3 moteurs ou plus, à une distance équivalente à un temps de vol de 2 heures à la vitesse de croisière avec un moteur en panne.
D. pour un avion équipé de 2 moteurs, à une distance équivalente à un temps de vol de 2 heures à la vitesse de croisière avec un moteur en panne.
13 : L’aérodrome de dégagement au décollage doit être situé, pour un avion équipé de deux moteurs à :
A. 2 heures de vol tous moteurs en fonctionnement.
B. 2 heures de vol un moteur en fonctionnement.
C. 1 heure de vol un moteur en fonctionnement.
D. 1 heure de vol tous moteurs en fonctionnement.
14 : L’agent extincteur le plus approprié pour un feu se déclarant sur une roue est :
A. la poudre sèche.
B. l’eau.
C. la mousse.
D. le CO2.
15 : L’agent extincteur utilisé le plus répandu pour les systèmes de protection des turbines à gaz est :
A. l’eau.
B. le Halon.
C. la poudre sèche.
D. le CO2.
16 : L’angle de couverture du feu de position rouge, allumé en permanence pendant le vol et situé sur le bout de l’aile gauche est de :
A. 220°.
B. 70°.
C. 110°.
D. 140°.
17 : L’annexe 18 de l’OACI est un document traitant :
A. de la sécurité du transport aérien des marchandises dangereuses.
B. de la pollution sonore des aéronefs.
C. des conditions techniques d’utilisation des aéronefs.
D. du transport par air d’animaux vivants.
18 : L’application d’un produit de dégivrage de type II sur un avion au sol lui procurera :
A. une durée d’efficacité limitée.
B. un temps limité de protection indépendant de la température extérieure.
C. une protection contre le givrage pendant la durée du vol.
D. une protection de plus de 24 heures.
19 : L’ATIS de l’aérodrome de destination annonce une RVR de 200 m, OVC à 100 ft tout au long de l’approche. La procédure d’approche est un ILS/NDB avec un Locator NDB situé à l’OM. Les minima pour l’approche sont DH 200 ft, RVR 600 m. Laquelle des affirmations suivantes est correcte ?
A. L’approche peut être commencée mais ne peut pas être poursuivie en dessous de la DH à moins que les références visuelles adéquates soient acquises.
B. L’approche peut être commencée, mais ne peut pas être poursuivie au-delà de l’OM.
C. L’approche peut être commencée mais ne peut pas être poursuivie en dessous de 1000 ft au-dessus de l’aérodrome.
D. L’approche ne peut pas être commencée.
20 : L’atténuation de bruit ne devrait pas être le facteur déterminant pour la désignation des pistes dans les circonstances suivantes : 1. la composante transversale du vent, y compris les rafales, dépasse 15 kt. 2. la composante vent arrière, y compris les rafales, dépasse 5 kt. 3. la piste n’est pas dégagée et sèche.
A. 2, 3.
B. 1, 3.
C. 1, 2.
D. 1, 2, 3.
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