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Préparation à l’examen l’ATPL en ligne : 20 questions du module Performance humaine et ses limites

Dans ces questions à choix multiples, une seule réponse est vraie :

1 : Quelles peuvent être les origines des erreurs de représentation ? 1. les erreurs de perception. 2. la réunion de toute l’information possible. 3. un information incorrecte du monde observé. 4. la réception d’une mauvaise donnée.
A. 1, 2.
B. 1, 3, 4.
C. 2, 3.
D. 3, 4.

2 : Quelles sensations un pilote ressent-il, lorsqu’il sort d’un virage en palier ?
A. L’impression de voler en palier rectiligne.
B. L’impression de tourner dans la direction du virage.
C. L’impression de monter.
D. L’impression de descendre et de tourner dans la direction opposée.

3 : Quelles sont les affirmations exactes ? 1. Dans un avion récent, on peut garantir 50-60% d’hygrométrie relative, ce qui est satisfaisant pour l’organisme. 2. La soif est un symptôme retardé de déshydratation. 3. La déshydratation peut entraîner des symptômes tels que vertiges ou fatigue. 4. Il faut éviter de boire des quantités excessives d’eau pour ne pas diminuer l’adaptation aux périodes de faible hydratation.
A. 2, 3, 4.
B. 1, 4.
C. 1, 2, 4.
D. 2, 3.

4 : Quelles sont les caractéristiques d’un cockpit laissez-faire ?
A. Passivité du CDB pour les prises de décision, qui sont prises par les autres membres de l’équipage.
B. Chaque membre d’équipage mène des actions, fait des choix sans explicitement informer les autres membres d’équipage.
C. L’autorité du CDB définit des règles pour toutes les actions ou les décisions liées à la situation.
D. Le niveau élevé d’indépendance accordée à chacun des membres par le CDB mène rapidement à des tensions entre les divers membres d’équipage.

5 : Quelles sont les caractéristiques de la phase d’alarme des réactions de stress ? 1. Un niveau d’excitation élevé résultant de la sécrétion d’adrénaline. 2. Une augmentation de la fréquence cardiaque, respiratoire et la libération de glucose. 3. Une diminution de la résistance au stress. 4. L’activation du système digestif. 5. La sécrétion du cortisol pour mobiliser l’attention.
A. 1, 3, 5.
B. 2, 4, 5.
C. 1, 2, 3.
D. 1, 2.

6 : Quelles sont les caractéristiques de la prise de décision au poste de pilotage ?
A. Une décision n’est valable que pour un temps défini et limité.
B. Une décision de groupe doit toujours être établie avant l’action.
C. Une bonne décision peut toujours être réversible si le résultat n’a pas répondu aux attentes de la situation.
D. La bonne décision dépend de l’analyse de la situation.

7 : Quelles sont les caractéristiques principales des erreurs actives ? Elles : 1. sont détectables seulement avec difficulté par les opérateurs de première ligne. 2. ont des conséquences directes et rapides sur les actions en cours. 3. sont confinées aux opérateurs de première ligne. 4. ont un impact sur l’action globale dont le minutage peut être affecté de manière significative.
A. 1, 4.
B. 3, 4.
C. 2, 3.
D. 1, 2.

8 : Quelles sont les causes de l’hypoxie hypoxémique ?
A. L’hypoxie hypoxémique, aussi appelée hypoxie de stress auto-infligée, est l’altitude physiologique de l’individu (l’altitude que le corps ressent). Des stresseurs auto-infligés, comme le tabac et l’alcool, peuvent provoquer l’hypoxie hypoxémique.
B. l’hypoxie hypoxémique survient lorsqu’il y a interférence dans l’utilisation de l’O2 par les tissus. L’alcool, les drogues et certains poisons, comme le cyanure, interfèrent avec la capacité des cellules à utiliser une fourniture adéquate d’oxygène.
C. l’hypoxie hypoxémique survient lorsqu’il y a interférence dans l’utilisation de l’O2 par les tissus. L’alcool, les drogues et certains poisons, comme le cyanure, interfèrent avec la capacité des cellules à utiliser une fourniture adéquate d’oxygène, la capacité du sang à transporter l’oxygène est adéquate, mais la circulation ne l’est pas. Des conditions comme l’infarctus, les spasmes coronaires, l’occlusion d’un vaisseau sanguin, et la traction veineuse lors de manoeuvres à haut facteur de charge, prédisposent l’individu à l’hypoxie hypoxémique.
D. Trop peu d’oxygène dans l’air ou une circonstance empêchant la diffusion de l’oxygène des poumons vers le flux sanguin, provoquée par une réduction de ppO2 et très souvent rencontrée en haute altitude.

9 : Quelles sont les conséquences typiques des conflits entre les membres d’équipage ? 1. La qualité de la performance de travail diminue à cause de l’appauvrissement des communications. 2. Une diminution de la qualité des communications. 3. Dans le cas d’un équipage constitué d’experts, les conflits découlent seulement d’une détérioration des relations entre les individus. 4. Une diminution de l’utilisation des ressources disponibles dans le cockpit.
A. 1, 3 et 4 sont justes.
B. 2, 3 et 4 sont justes.
C. 1, 2 et 4 sont justes.
D. 1, 2 et 3 sont justes.

10 : Quelles sont les principales conséquences des erreurs latentes ? Elles : 1. restent non détectées dans le système pendant un certain temps. 2. peuvent se manifester seulement sous certaines conditions. 3. sont rapidement détectables par l’opérateur de première ligne dont les schémas mentaux dans la situation instantanée filtrent les erreurs formelles. 4. induisent le pilote dans un sentiment de sécurité.
A. 1 et 2.
B. 1, 2 et 4.
C. 1 et 3.
D. 2, 3 et 4.

11 : Quelles sont les principales sources de radiation à haute altitude ?
A. Le rayonnement galactique dû à des particules galactiques et le rayonnement solaire dû aux éruptions.
B. L’ionisation des différentes couches de l’atmosphère due au bombardement des radiations galactiques.
C. Le rayonnement solaire dû aux éruptions et le rayonnement nucléaire dû au rayonnement naturel de la terre.
D. Les rayonnements galactique et nucléaire dus l’un et l’autre au rayonnement naturel de la terre.

12 : Quelles sont les principales stratégies pour s’adapter aux contraintes temporelles ?
A. La préparation des actions et la gestion du temps.
B. Le classement des tà¢ches par ordre de priorité et l’application des procédures.
C. La préparation des actions et le classement des tà¢ches par ordre de priorité.
D. La préparation des actions et l’application des procédures.

13 : Quelles sont les principales stratégies pour s’adapter aux contraintes temporelles ? 1. La hiérarchisation des tà¢ches. 2. La préparation des actions. 3. L’application des procédures. 4. L’utilisation de compétences en gestion du temps.
A. 1.
B. 2 et 4.
C. 1, 2, 3 et 4.
D. 1 et 3.

14 : Quelles sont les qualités de communication d’un bon briefing ? Un bon briefing doit: 1. Contenir beaucoup d’informations et être aussi complet que possible. 2. Étre d’un type standard, de sorte qu’il peut être réutilisé pour un autre vol du même type (dans sa structure, pas son contenu). 3. Étre bref et précis. 4. Étre compréhensible pour l’autre membre d’équipage (s). La ou les réponses correcte (s) est (sont)
A. 1 et 2 sont correctes.
B. 2, 3 et 4 sont correctes.
C. 1 et 4 sont correctes.
D. 1, 2 et 4 sont correctes.

15 : Quelles sont les réactions les plus fréquentes et les moins appropriées de la part d’un copilote en face d’un commandant de bord hautement autoritaire ? 1. Affirmation de soi. 2. Sensation de bouc émissaire. 3. Des réactions tardives en cas de désaccord observé. 4. Désengagement.
A. 2, 3, 4.
B. 1, 2.
C. 1, 3, 4.
D. 3, 4.

16 : Quelles sont les trois phases du Syndrome Général d’Adaptation ?
A. Alerte, résistance, performance.
B. Alerte, lutte, épuisement.
C. Alarme, performance, résistance.
D. Alarme, résistance, épuisement.

17 : Quelles sont les trois phases du Syndrôme Général d’Adaptation ?
A. Alerte, résistance, épuisement.
B. Alerte, résistance, performance.
C. Alarme, résistance, épuisement.
D. Alarme, résistance, performance.

18 : Quelqu’un ressent une hyperventilation. Quelle est l’explication la plus probable ?
A. Un niveau élevé de rejet de CO2 dans les poumons.
B. Un faible niveau de rejet de CO2 dans les poumons.
C. Un faible niveau de vapeur d’eau dans les poumons.
D. Un niveau élevé de vapeur d’eau dans les poumons.

19 : Quelques gaz de l’atmosphère terrestres et quelques valeurs de concentration. Reliez les les uns aux autres : 1. Azote. 2. Oxygène. 3. Dioxyde de carbone. 4. Gaz rares. A. 0,03%. B. 0,92%. C. 20,95%. D. 78,10%.
A. 1D, 2C, 3B, 4A.
B. 1C, 2B, 3A, 4D.
C. 1B, 2A, 3D, 4C.
D. 1D, 2C, 3A, 4B.

20 : Quelques heures après une dépressurisation rapide au FL 300 vous ressentez des douleurs dans les articulations. Laquelle des réponses suivantes est correcte ?
A. Vous devriez requérir un avis médical (médecin aéronautique) car c’est un symptôme de la maladie de décompression d’altitude.
B. Ce phénomène est traité en respirant 100% d’azote.
C. Ce phénomène est traité par physiothérapie.
D. Ce symptôme indique la maladie de décompression d’altitude et disparaîtra quand vous ferez un peu d’exercice.

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