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Examen Aéronautique

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Préparation à l’examen l’ATPL en ligne : 20 questions du module Performance humaine et ses limites

QCM ATPL Gratuit

Répondez à ces 20 questions officielles du programme de l’ATPL pour tester vos connaissances.

Dans ces questions à choix multiples, une seule réponse est vraie :

1 : Les gens en bonne santé sont habituellement capables de compenser un manque d’oxygène jusqu’à :
A. 10 000 à 12 000 pieds.
B. 15 000 pieds.
C. 20 000 pieds.
D. 25 000 pieds.

2 : Les grands principes d’une alimentation équilibrée précisent que :
A. il faut privilégier les aliments en conserve ou surgelés, et une cuisson légère.
B. l’apport calorique quotidien moyen d’un pilote doit être de 2400 Cal. (pour un homme).
C. l’apport de protides par la viande doit représenter au moins 50% de l’apport quotidien.
D. les trois catégories d’aliments : protides, lipides, glucides, doivent toujours être dissociées.

3 : Les habitudes et la routine peuvent influencer la prise de décision de telle façon :
A. qu’on fasse toujours un choix en accord avec les pratiques usuelles de la compagnie.
B. qu’une tendance à choisir la solution la plus familière avant toute chose, parfois au détriment diu meilleur résultat possible.
C. qu’on veut toujours voir les anciennes expériences confirmées par les nouvelles.
D. que les pilotes professionnels ne remettront jamais en question les procédures établies.

4 : Les illusions d’interprétation (illusions cognitives) sont :
A. associées à la tà¢che de construction mentale de l’environnement.
B. dues principalement à un conflit entre les différents systèmes sensoriels.
C. dues principalement à une interprétation médiocre des données instrumentales.
D. exclusivement induites en l’absence de points de référence externes.

5 : Les inconvénients liés à l’automatisation sont : 1. une diminution des compétences en pilotage manuel. 2. une augmentation de la probabilité d’erreur lors de la programmation des systèmes. 3. des difficultés d’adaptation au minimanche. 4. une diminution générale de la fiabilité technique.
A. 2, 3, 4.
B. 1, 4.
C. 1, 3.
D. 1, 2.

6 : Les indispositions en vol des pilotes sont majoritairement dues à :
A. des troubles gastro-intestinaux aigus.
B. des troubles cardio-vasculaires.
C. des troubles du comportement.
D. des troubles pulmonaires chroniques.

7 : Les innovations techniques ou sociales produisent une dégradation temporaire de la sécurité avant d’obtenir l’amélioration escomptée. Ce phénomène est décrit par :
A. les taux d’erreur.
B. les taux d’aggravation.
C. les taux d’actualisation.
D. les taux d’introduction.

8 : Les jeunes pilotes ou les pilotes peu expérimentés diffèrent des pilotes expérimentés de la façon suivante :
A. lorsqu’ils exécutent la même tà¢che, les pilotes inexpérimentés se réfèrent davantage aux informations existantes que les experts.
B. la performance de planification en vol décroît avec l’à¢ge, et cette déficience ne peut être masquée par l’expérience.
C. les pilotes expérimentés ont un mode de fonctionnement moins routinier que les jeunes pilotes parce qu’ils savent que la routine génère des erreurs.
D. tà¢che pour tà¢che, la charge de travail d’un expert est plus importante que celle d’un novice.

9 : Les langages professionnels ont certaines caractéristiques, notamment : 1. un vocabulaire limité. 2. ils sont riches et adaptés au contexte, ce qui conduit parfois à des ambiguà¯tés. 3. leur grammaire est compliquée. 4. le sens est donné par le contexte, ce qui réduit le risque d’ambiguà¯tés.
A. 2 et 3.
B. 4 uniquement.
C. 1 et 4.
D. 1 et 3.

10 : Les lois de la Gestalt formule :
A. les principes de base régissant la manière dont les objets sont mentalement organisés et perçus.
B. les principes de base concernant la relation entre la motivation et la performance.
C. les principes de base régissant la relation entre le stress et la performance.
D. les principes de base régissant les effets de l’habitude et l’expérience.

11 : Les médicaments contre l’allergie (antihistaminiques), consommés par un pilote, auront les effets indésirables suivants : 1. somnolence, vertiges. 2. bouche sèche. 3. maux de tête. 4. perception de la profondeur dégradée. 5. nausées.
A. 1, 2, 3, 4 et 5 sont justes.
B. 2, 3 et 4 sont justes.
C. seule 1 est juste.
D. seules 3, 4 et 5 sont justes.

12 : Les modifications de pression ambiante et des accélérations pendant le vol sont des facteurs physiologiques important limitant la performance des pilotes si on ne les prend pas en considération. Les accélérations linéaires le long du grand axe du corps :
A. auront un effet sur la pression sanguine et le débit sanguin si les forces d’accélération agissent sur le corps à angle droit du grand axe du corps.
B. modifient la pression sanguine et la répartition du sang dans le corps.
C. n’ont pas d’influence quand on fait de la voltige.
D. ne stimuleront aucun des organes vestibulaires.

13 : Les organes constituants le vestibule sont :
A. la trompe d’Eustache et les canaux semi-circulaires.
B. la trompe d’Eustache et la glande pinéale.
C. la cochlée et le nerf auditif.
D. les canaux semi-circulaires, l’utricule et le saccule.

14 : Les organisations aéronautiques ont des réactions variables aux informations indiquant un danger. D’après Westrum, on parle d’action de réparation locale lorsque :
A. les observateurs sont retenus mais la validité de leurs observations est contestée.
B. le problème est admis comme global, et une action de réforme globale est entreprise.
C. l’action corrective amène à une réforme du système opérationnel.
D. le problème est admis et corrigé, mais les implications plus larges sont niées.

15 : Les otolithes situés dans l’oreille interne sont sensibles :
A. aux vitesses constantes seulement.
B. aux vitesses angulaires.
C. aux accélérations angulaires.
D. aux accélérations linéaires et à la gravité.

16 : Les perceptions proprioceptives (pilotage « aux fesses ») :
A. peuvent donner de fausses informations sur l’orientation du corps lorsque les références visuelles sont perdues.
B. peuvent être utilisées comme référence pour déterminer l’attitude lorsqu’on opère en conditions météorologiques de vol à vue ou aux instruments.
C. peuvent être utilisées, bien entraîné, pour éviter la désorientation spatiale.
D. sont un instinct humain naturel qui indiquera toujours la position correcte du corps dans l’espace.

17 : Les perturbations de l’égalisation des pressions dans les cavités creuses de la tête (nez, oreilles, etc.) sont appelées :
A. l’hypoxie.
B. l’hyperventilation.
C. l’ébulisme.
D. les barotraumatismes.

18 : Les phases de l’apprentissage d’un programme moteur sont :
A. Première, seconde, et troisième phase.
B. Initiale, Intérim, Phases finales.
C. Induction, Simulation, Phase pratique.
D. Cognitive, Associative, Autonome ou Automatique.

19 : Les pilotes sont plus facilement enclins à prendre de plus grands risques lorsque :
A. ils font partie d’un groupe de pilote et qu’ils sentent qu’ils sont observés et admirés (par exemple dans les manifestations aériennes).
B. ils ne sont pas contraints par le temps.
C. ils prennent leurs décisions indépendamment des autres.
D. ils volent au dessus d’un territoire non familier.

20 : Les principales limites de la mémoire à court terme sont : 1. une grande sensibilité aux interruptions et aux interférences. 2. une difficulté d’accès. 3. une taille limitée. 4. la possibilité d’une destruction biochimique des informations.
A. 1, 3 et 4.
B. 1, 2 et 3.
C. 2 et 3.
D. 2 et 4.