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Passez ce test de 20 questions issues de la thématique Droit aérien et procédures du contrôle de la circulation aérienne pour préparer la théorie de l’ATPL

Dans ces questions à choix multiples, une seule réponse est vraie :

1 : D’après le PART-FCL, la prise en compte du temps de vol en tant que copilote MPA est de :
A. 25% du temps de vol en tant que copilote, pour l’accomplissement du temps de vol total exigé pour une licence supérieure.
B. 100% du temps de vol en tant que copilote, pour l’accomplissement du temps de vol total exigé pour une licence supérieure.
C. 50% du temps de vol en tant que copilote, pour l’accomplissement du temps de vol total exigé pour une licence supérieure.
D. pas plus de 100 heures du temps de vol total exigé pour une licence supérieure.

2 : D’après le PART-FCL, un postulant à un CPL (A) qui a suivi de façon complète et satisfaisante une formation au vol intégrée, doit avoir effectué en tant que pilote d’avions possédant un certificat de navigabilité émis ou accepté par un Etat membre des JAA au moins :
A. 200 heures de vol.
B. 200 heures de vol plus 10 heures aux instruments au sol.
C. 150 heures de vol plus 10 heures aux instruments au sol.
D. 150 heures de vol.

3 : D’après les accords internationaux, la direction du vent doit être corrigée de la valeur de la variation locale, et communiquée en degrés magnétiques :
A. lors de prévisions de vent fort pour les régions situées au nord de 60° de latitude ou bien au sud de 60° de latitude.
B. avant l’atterrissage et le décollage.
C. lorsqu’un aéronef, à la demande d’un bureau d’observation météorologique ou bien à des points spécifiés, transmet un PIREP.
D. lorsque la valeur de la variation excède 10° Est ou bien 10° Ouest.

4 : D’après les termes de la convention de Tokyo de 1963, qu’exige-t-on d’un État contractant dans le cas où un acte d’intervention illicite a lieu sur son territoire ?
A. Rien de particulier.
B. La responsabilité repose sur le commandant de bord, pas à l’État contractant.
C. La responsabilité de l’État est limitée à la sécurité des passagers uniquement.
D. L’État doit prendre toutes les mesures appropriées pour rendre le contrôle de l’aéronef à son commandant légitime, ou lui préserver son contrôle de l’aéronef.

5 : Dans l’aire primaire, la marge de franchissement des obstacles pour le segment d’approche initiale procure au moins :
A. décroissant de 984 ft à 492 ft.
B. 492 ft.
C. 1476 ft.
D. 984 ft.

6 : Dans l’annexe à la convention de l’OACI qui spécifie les dimensions des aérodromes se trouvent des codes pour les différentes pistes. Quelle est la largeur minimale d’une piste de code 4 ?
A. 50 mètres.
B. 40 mètres.
C. 35 mètres.
D. 45 mètres.

7 : Dans l’annexe à la convention de l’OACI qui spécifie les dimensions des aérodromes, on donne une dimension spécifique pour les systèmes lumineux d’approche pour les ILS CAT I. Quelle devrait être la longueur de ce système lumineux d’approche ?
A. 900 mètres.
B. 1000 mètres.
C. 1200 mètres.
D. 420 mètres.

8 : Dans l’indicatif de la voie aérienne UA1Y, que signifie le préfixe U ?
A. Unidirectional.
B. Uniform.
C. Upper.
D. Undesignated.

9 : Dans la case « vitesse » d’un plan de vol, il faut inscrire la vitesse prévue pour la première partie ou la totalité de la croisière. Cette vitesse est :
A. la vitesse indiquée de croisière.
B. la vitesse vraie en croisière.
C. la vitesse propre à 65% de la puissance.
D. la vitesse sol estimée.

10 : Dans la case 10 du formulaire de plan de vol, concernant l’équipement, la lettre à utiliser pour signaler que l’aéronef est doté d’un transpondeur mode A 4096 codes avec report d’altitude est :
A. A.
B. C.
C. P.
D. S.

11 : Dans la case 16 d’un plan de vol VFR, on doit porter la « durée totale estimée ». Cette durée est le temps estimé :
A. nécessaire à l’aéronef, à partir du moment du là¢cher des freins au décollage, jusqu’à l’atterrissage.
B. nécessaire à l’aéronef, à partir du moment où il se déplace par ses propres moyens jusqu’au moment où il s’immobilise à la fin du vol (temps bloc bloc).
C. nécessaire à l’aéronef à partir du moment du décollage, pour arriver à la verticale de l’aérodrome de destination.
D. de vol potentiel (autonomie) au régime de croisière choisi dans les conditions de pression et de température du jour.

12 : Dans laquelle des zones suivantes l’annexe 13 de l’OACI (Enquêtes sur les accidents et incidents d’aviation) s’applique-t-elle?
A. Partout où des accidents ou incidents se produisent.
B. Dans une région du pays où un accident a lieu.
C. Dans une zone du pays où un accident a lieu, à l’exclusion de la haute mer.
D. Dans une zone géographique hors zones de haute mer.

13 : Dans le cadre d’une approche ILS (Instrument Landing System : système d’atterrissage aux instruments), l’OCA (Obstacle clearance altitude : altitude de franchissement d’obstacle) s’exprime par rapport :
A. au niveau moyen de la mer.
B. à l’altitude de l’aérodrome.
C. au point de référence de l’aérodrome.
D. au seuil de piste utilisée.

14 : Dans le cadre d’une formation intégrée ATPL, combien d’heures de vol doivent être effectuées en tant que commandant de bord ?
A. 70 heures.
B. 100 heures.
C. 1500 heures.
D. 95 heures.

15 : Dans le cadre d’une formation intégrée CPL, combien d’heures de vol doivent être effectuées en tant que commandant de bord :
A. 150 heures.
B. 200 heures.
C. 70 heures.
D. 100 heures.

16 : Dans le cadre d’une formation modulaire CPL, combien d’heures de vol doivent être effectuées en tant que commandant de bord :
A. 100 heures.
B. 150 heures.
C. 200 heures.
D. 70 heures.

17 : Dans le cadre des limitations de temps de vol et de service, « temps de vol » signifie la période entre :
A. le décollage (là¢cher des freins) et l’atterrissage (vitesse contrôlée).
B. le temps total à partir du moment où l’avion commence à se déplacer en vue du décollage jusqu’au moment où il s’immobilise en dernier lieu à la fin du vol.
C. le décollage et l’atterrissage (tout temps de vol de nuit est majoré de 50 %).
D. le temps à partir du moment où l’avion commence à se déplacer jusqu’au moment auquel il s’arrête complètement à la fin du vol, majoré d’une heure et demie.

18 : Dans le cas d’aéronefs immatriculés dans un autre État contractant, qui ne sont pas exploités en service international régulier, et qui traversent le territoire d’un État contractant ou s’y arrêtent pour des raisons non commerciales, un tel État contractant doit accepter les renseignements contenus dans le plan de vol comme une notification en avance suffisante. Cette information doit être reçue :
A. au moins 4 heures avant l’arrivée.
B. au moins 12 heures avant l’ETA.
C. au moins 1 heure avant l’arrivée.
D. au moins 2 heures avant l’arrivée.

19 : Dans le cas d’une approche classique, une approche directe est considérée comme acceptable si l’angle formé par la trajectoire d’approche finale et l’axe de piste est inférieur ou égal à :
A. 20°.
B. 15°.
C. 10°.
D. 30°.

20 : Dans le cas de pistes parallèles, chaque numéro d’identification de piste sera completée :
A. par une lettre pour deux pistes parallèles.
B. par une lettre – par exemple trois pistes parallèles « L » et « R » et la piste centrale n’a pas de lettre.
C. par un nombre comme « 0 » et « 01 » pour deux pistes parallèles.
D. par une lettre – par exemple pour deux pistes parallèles « L » et « R » – pour trois pistes parallèles « L », « C » et « R ».

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