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QCM ATPL : 20 questions officielles issue du module Radionavigation

Dans ces questions à choix multiples, une seule réponse est vraie :

1 : En terminologie SSR, « de-fruiting » signifie :
A. l’affichage des seuls trafics changeant de niveau.
B. l’enlèvement des couleurs de l’affichage de façon à donner un écran monochrome.
C. l’effacement de l’affichage des réponses aléatoires.
D. l’affichage des seuls aéronefs ayant une destination choisie.

2 : En utilisant conjointement à un système RNAV (Mode ENR), un CDI 2 points, une déviation d’un point par rapport à la route calculée représente sur le HSI :
A. 2 NM.
B. 2°.
C. 5 NM.
D. 5°.

3 : En utilisant la règle 1 pour 60, le taux de descente en ft/mn pour un glide à 3,3° et une vitesse sol de 115 kt, est :
A. 172 ft/mn.
B. 632 ft/mn.
C. 325 ft/mn.
D. 522 ft/mn.

4 : En utilisant la règle des 1/60, déterminez approximativement la hauteur d’un aéronef sur un plan de 2,9° à 3 NM du seuil :
A. 880 ft.
B. 765 ft.
C. 825 ft.
D. 840 ft.

5 : En utilisant un calcul mental approximatif, la hauteur d’un aéronef sur un plan glide de 3° à 4,5 NM du seuil, est :
A. 1370 ft.
B. 1230 ft.
C. 1420 ft.
D. 1480 ft.

6 : En utilisant une fréquence de récurrence aléatoire, le DME peut :
A. distinguer les réponses qui lui sont propres de celles, décalées, des autres aéronefs.
B. éviter les interférences avec d’autres émissions.
C. reconnaître les réponses d’une balise parmi une quantité d’échos sol.
D. réduire l’impact des parasites atmosphériques.

7 : En volant à 6 000 ft au-dessus du sol, le DME indique 5 NM. La distance horizontale entre l’aéronef et la verticale du DME est :
A. 5,2 NM.
B. 4,6 NM.
C. 4,3 NM.
D. 4,9 NM.

8 : Énumérer les facteurs utilisés pour définir le système de navigation de surface (RNAV) ou de performance de navigation requise (RNP) en termes d’exigences de performance:
A. Précision, intégrité, continuité, complexité.
B. Précision, intégrité.
C. Précision, intégrité, continuité.
D. Précision, continuité.

9 : Énumérez tous les composants de la navigation basée sur les performances (PBN):
A. Infrastructure d’aide à la navigation, spécification de navigation et application de navigation.
B. Infrastructure d’aide à la navigation et spécification de navigation.
C. Réglementation de la navigation, spécification de navigation et application de navigation.
D. Spécification de navigation et application de navigation.

10 : Est-il possible de mettre en fonctionnement le radar météorologique au sol ?
A. Oui toujours.
B. Seulement au roulage.
C. Oui en respectant des règles et procédures.
D. Non, jamais.

11 : Etant donné : – Cap compas 270°. – Déviation 2°W. – Déclinaison magnétique 30°E. – Relèvement relatif 316°. Quel est le QDR ?
A. 224°.
B. 226°.
C. 044°.
D. 046°.

12 : Etant sur le QDR 075° (au voisinage de la station) avec un cap magnétique 295°, le gisement sur l’indicateur ADF est :
A. 040°.
B. 320°.
C. 140°.
D. 220°.

13 : L’ADF utilise une antenne lever de doute afin de :
A. résoudre les relèvements ambigus.
B. détecter le signal test du récepteur.
C. déterminer la position de nulle réception.
D. émettre l’identification de la balise.

14 : L’aire sensible d’un ILS est l’aire où les aéronefs ne doivent pas pénétrer lorsque :
A. le terrain est en procédure CAT I.
B. une procédure ILS est en cours.
C. le terrain est en procédure CATII/III.
D. l’ILS est en cours de calibration.

15 : L’angle de TILT d’un radar météorologique embarqué pour lequel un nuage commence à disparaitre de l’écran est 4 degrés UP. Si l’ouverture du faisceau est 5° et que le nuage est à 40 NM, la hauteur du nuage au-dessus de l’aéronef est approximativement :
A. 6000 ft.
B. 3000 ft.
C. 4000 ft.
D. 9000 ft.

16 : L’antenne du récepteur GPS doit être placée :
A. au voisinage du récepteur pour éviter des lignes de transmission trop longues.
B. sur le dessus du fuselage au voisinage du centre de gravité.
C. dans la dérive pour minimiser l’influence des réflexions des ailes et du fuselage.
D. sous le fuselage afin de recevoir les corrections d’erreurs des stations D-GPS.

17 : L’atténuation d’une onde radio est :
A. l’augmentation de sa puissance par la combinaison des signaux multi-trajet.
B. la réduction de sa puissance par absorption, réflexion, dispersion.
C. le changement de sa fréquence par utilisation des bandes latérales.
D. le changement de son amplitude par utilisation des bandes latérales.

18 : L’atténuation est le terme générique pour :
A. perte de puissance.
B. augmentation de puissance.
C. perte de puissance mais seulement pertinent pour les ondes de ciel.
D. réfraction.

19 : L’avantage d’un radar à ondes continues par rapport à un radar à impulsions est :
A. qu’il a des performances supérieures à longues distances.
B. qu’il n’y a pas de zone aveugle.
C. qu’il est plus fiable.
D. que le commutateur émission / réception de l’antenne est plus petit et moins complexe

20 : L’avantage d’une antenne à fente dans les radars modernes est :
A. d’éliminer les lobes secondaires ce qui a pour conséquence de concentrer d’avantage d’énergie dans le faisceau principal.
B. d’avoir un faisceau large ce qui a pour conséquence une meilleure détection des cibles.
C. d’éliminer l’asservissement en azimut.
D. de transmettre simultanément les faisceaux météo et mapping.

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